Histoire

De la maison individuelle clé en main aux premiers buffets de « Schmidt Küchen » : le premier hall de fabrication des buffets est construit et les premiers modèles sont présentés à la foire de St Wendel (Sarre).

La Sarre est rattachée à l’Allemagne. Le 6 juillet, « Cuisines Schmidt » s’installe à Lièpvre et fabrique les buffets Heidi. Avec 4 commerciaux, 57 salariés, dont une vingtaine issue de la Sarre, l’entreprise affiche déjà un chiffre d’affaires de 300 000 euros.

Antonia, fille de Hubert Schmidt, épouse Karl Leitzgen. Celui-ci donne une incroyable impulsion à l’entreprise. Elle compte alors 100 personnes et près d’1 million d’euros de chiffre d’affaires.

« Cuisines Schmidt » lance les éléments de cuisines : le premier catalogue, qui met en scène les gammes standard, prestige et classique, sort de presse. Le processus de façade à la commande est en place. L’entreprise affiche 5 millions d’euros de chiffre d’affaires et 150 personnes y travaillent.

Le 13 juillet 1983, le dernier buffet, Prestige 150 est fabriqué. Avec l’arrivée de la première commande numérique, l’entreprise devient la Société Alsacienne de Meuble – SALM. Elle compte 270 salariés et affiche un chiffre d’affaires de 19 millions d’euros.

Pour développer le chiffre de ses magasins exclusifs, Cuisines Schmidt entre dans l’ère de la communication et s’exporte au Royaume-Uni. “Être les meilleurs, respecter chacun, réussir ensemble” sont les maîtres mots de la philosophie du Groupe, qui compte désormais 350 salariés et un chiffre d’affaires de 44 millions d’euros.

La SALM lance sa politique de marque “Cuisines Schmidt” à Paris et devient le 2e groupe français. Une nouvelle usine
moderne voit le jour à Sélestat et le site de Türkismühle rentre dans le giron français. L’entreprise compte alors 600 salariés et 65 millions d’euros de chiffre d’affaires.

La SALM se démocratise et lance une nouvelle marque plus abordable pour une clientèle de jeunes couples : “Cuisinella”. Chez Cuisines Schmidt, la salle de bains et les accessoires voient le jour. L’entreprise affiche 83 millions d’euros de chiffre d’affaires et 700 salariés y travaillent.

Karl Leitzgen disparaît brutalement ; sa femme Antonia reprend la direction, épaulée par Jean-Marie Schwab. Schmidt propose un choix sans contrainte (coloris, styles, combinaisons multiples) et industrialise le sur-mesure. On compte désormais 800 salariés et 94 millions d’euros de chiffre d’affaires.

La SALM est le premier fabricant français de cuisines à obtenir la certification qualité, ISO 9001. Le Groupe poursuit sa diversification et crée une filiale de meubles en kit, EMK, qui s’adresse à la grande distribution. Avec 750 salariés, l’entreprise réalise 123,5 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Anne Leitzgen prend la présidence du groupe familial ; elle renforce le réseau de magasins exclusifs et veut amorcer un premier virage : devenir leader européen et se transformer en groupe international. L’entreprise comptabilise 1300 salariés et 295 millions d’euros de chiffre d’affaires.

La SALM est fière d’afficher trois certifications (qualité, environnement et sécurité), une première chez les fabricants de cuisine. Elle met en marche son nouveau site de production de Sélestat, U2, totalement automatisé. Le groupe devient le 1er fabricant de cuisines français.

La SALM devient Schmidt Groupe. En reprenant le nom de son fondateur, le Groupe affirme avec fierté sa confiance dans l’humain. Le consommateur est au cœur des préoccupations de l’Entreprise Étendue avec l’objectif final d’enthousiasmer chaque client. Le contrat Garantie Excellence Schmidt est lancé.

Schmidt Groupe compte 1 500 salariés et affiche un chiffre d’affaires de 460 millions d’euros, dont 15% à l’international.

Un an plus tard, la nouvelle usine U3 est mise en route. Cette unité de production 4.0 est spécialisée dans l’habitat pour répondre à la demande croissante de ce marché.​

Schmidt Groupe obtient le label « Relations Fournisseurs et Achats Responsables » adossé à la norme internationale ISO 20400. Ce label distingue les entreprises françaises ayant fait preuve de relations durables et équilibrées avec leurs fournisseurs. Il est remis par le Ministère de l’Economie et des Finances. Le Groupe est alors la 1ère et seule entreprise alsacienne à obtenir cette distinction, et parmi les 10 premières organisations françaises à l’avoir obtenu.​

Inscrite dans l’ADN de l’entreprise depuis toujours, la responsabilité sociétale de Schmidt Groupe se structure. La stratégie s’accélère avec une vision claire, portée par Anne Leitzgen : « L’entreprise de demain sera RSE ou ne sera pas. » En parallèle, le Groupe poursuit son développement et lance ses sites eCommerce. La nouvelle usine U2B monte en puissance pour accompagner la croissance et les capacités de production de l’entreprise.

Schmidt Groupe franchit une étape décisive en rejoignant la communauté mondiale B Corp en novembre 2023. Cette reconnaissance traduit sa volonté d’être une force positive et motrice face à aux enjeux actuels majeurs pour la planète et ses habitants. Comme l’ensemble des entreprises B Certifiées, Schmidt Groupe adopte des normes sociales et environnementales élevées, afin de contribuer à une économie plus inclusive, équitable et régénératrice.

En parallèle, l’entreprise part à la conquête d’un nouveau marché, celui du B to B. La troisième marque « ID PRO » est lancée à destination de cette nouvelle cible de professionnels.

Schmidt Groupe lance une nouvelle marque qui se veut libre et impertinente, appelée Spoon & Room, à destination des jeunes urbains. La marque propose à sa cible des meubles modulables, beaux et bons pour créer des intérieurs qui vivent librement au rythme de toutes leurs envies. Sa signature ? Des meubles sans compromis !

Le premier showroom Spoon & Room ouvre ses portes au cœur de Paris, à deux pas du Marais.